Offerte aux citoyens les plus « forts » et aux voitures, dont la circulation et le parking dévorent l’espace public, la ville est progressivement devenue invivable, agressive, voire dangereuse pour les plus faibles, personnes âgées, handicapés et, par-dessus tout, les enfants, porteurs d’avenir. Et si nous inversions les choses ? Si nous rendions la ville aux piétons, aux jeux des enfants, aux rencontres et aux échanges entre générations ? Le projet apparemment utopiste de « Ville des enfants » (...)